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Accueil > Analyses > Tribunes libres > La propagande islamique sur les réseaux sociaux : l’exemple d’Islamweb.net
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TRIBUNE LIBRE N°97 / décembre 2020

La propagande islamique sur les réseaux sociaux : l’exemple d’Islamweb.net

Dr Abderrahmane MEKKAOUI (Maroc)

Politologue, spécialiste des questions sécuritaires et militaires. Membre du Collège des conseillers internationaux du CF2R.

 

Islamweb.net (« Le portail du bonheur ! ») est le site le plus consulté et le plus riche du salafisme militant et le porte-parole officiel de l’émirat du Qatar. Il est nécessaire d’étudier et d’analyser ce site et de mesurer son influence sur les autres médias, dans la fabrication de l’opinion publique musulmane et internationale. Car Islamweb.net joue un rôle déterminant dans la conception et l’orientation idéologique du salafisme mondial.

 

Un site militant particulièrement actif et fréquenté

 

Islamweb.net a été créé par le Qatar en 1998, deux ans après la chaine internationale Al-Jazeera (1996), comme bouclier de protection politique et idéologique, contre l’hégémonie du grand frère saoudien wahhabite. La ligne de défense adoptée par Doha s’est traduite par son alliance stratégique avec deux organisations islamistes aux ramifications multiples : le groupe Al-dawa wa tabligh (« Apologie et prédication ») et les Frères musulmans. Ces deux organisations disposent d’antennes internationales nombreuses et d’une élite intellectuelle active. Elles sont parrainées et soutenues par le Qatar via son ministère des Affaires religieuses ; lequel a investi des moyens techniques, financiers et humains considérables pour la promotion du site.

Islamweb.net est un portail islamiste qui s’adresse à toutes les couches de la population – de la petite enfance (crèche) aux seniors, en passant par les jeunes universitaires, les handicapés auditifs et visuels, etc. – du monde entier. Le site est en effet traduit en plusieurs langues (anglais, français, espagnol, allemand, arabe et indonésien).

Le principal responsable principal de ce site salafiste est Jassem Al-Ali, ténor de l’organisation Al-dawa wa tabligh. Dans un entretien au journal Al-Charq de Doha, il a déclaré, en 2020, pendant la pandémie, qu’Islamweb.net « est devenu la première référence de tous les imams, les prêcheurs et les aumôniers musulmans du monde ». Il ajoute que le site aurait été créé dans le but de corriger l’image déformée de l’islam dans le monde et de valoriser cette religion dans l’opinion internationale. Ainsi, selon lui, plusieurs milliers d’« infidèles» ont été convertis grâce au discours didactique simple et attrayant (vidéos, dessins animés, films…) du site.

La mission principale d’Islamweb.net est la diffusion d’une doctrine mortifère qui prétend représenter les temps idylliques de l’islam. Son but final demeure la création de la grande communauté musulmane (oumma) dirigée par un calife sur le modèle de Daesh en 2014 (djihad al-tamkine), avec le soutien objectif de la Turquie. Le décryptage de son discours fait apparaître sa nature démagogique visant l’endoctrinement et le recrutement en vue de la création du califat. En fait, c’est une machine à produire du terrorisme qui tourne à plein régime, dont les arguments reposent sur une interprétation erronée des textes sacrés et la tradition musulmane.

Ce site bénéficie d’une forte fréquentation. Il a enregistré trois milliards de visiteurs durant les vingt-deux dernières années et 200 000 demandes de consultation et d’avis juridiques, provenant d’une majorité de jeunes et de femmes de tous âges. Il a été visité par les internautes de 190 pays et a même réussi à devenir la première référence en matière de fatwas, en Europe, en Asie, en Afrique et en Amérique du Nord.

Islamweb.net aurait produit 250 000 fatwas islamiques dans tous les domaines, allant du rituel basique à la gouvernance des Etats. Cela est confirmé par 8 millions de pages web sécurisées et une mise à jour quotidienne de la plate-forme avec un flux d’informations et un renouvellement des contenus ininterrompus.

 

La multiplication des fatwas et leur rôle

 

Une fatwa est un avis juridique donné par une autorité religieuse sur des sujets très divers, qui peuvent concerner tous les aspects de la vie, que ce soit la religion, l’éducation, la vie quotidienne ou encore la santé. La sexualité, la politique, le droit personnel, les règles fiscales, les pratiques rituelles ou encore l’alimentation sont les sujets les plus abondamment évoqués.

Historiquement, les fatwas sont apparues pendant la période abbasside (VIIIe-XIIIe siècles) accompagnant les écoles de pensée madahibes sunnites. Elles ont évolué à l’occasion des crises politiques et économiques qui ont touché le monde arabo-musulman. Elles peuvent être comparées au droit canonique chrétien.

Depuis la guerre du Golfe de 1991, les fatwas politiques ont commencé à proliférer en Egypte et un peu partout dans le monde arabe. Ce recours excessif à ces avis juridiques est le résultat d’un antagonisme fort entre le Qatar et l’Arabie saoudite, entre les Frères musulmans et les wahhabites, et entre les différentes écoles de pensée musulmane sunnites et chiites. L’objectif de cet affrontement idéologique est de s’assurer le contrôle idéologique de la communauté musulmane.

Cette profusion de fatwas traduit un vide politique et est due, dans le monde sunnite, à l’absence d’un clergé à l’instar des chiites. Aussi, ce rôle est-il assuré par des cheikhs prononçant des fatwas, à l’image du Conseil des oulemas  d’Arabie saoudite qui constitue une institution politico-religieuse faisant office de Parlement.

Mais les fatwas politiques de ces cheikhs sont peu objectives car influencées par les positions politiques et idéologiques de leur Etat d’appartenance. En effet, certains pays utilisent le discours religieux au profit de leurs intérêts politiques, idéologiques et économiques. A l’exemple, du Qatar qui utilise ce système de propagande contre l’Arabie saoudite et ses alliés. Cette tension théologique provoque une guerre de fatwas entre les deux pays, l’Arabie saoudite agissant via The Association of Muslim Scholars et le Qatar à travers l’Association internationale des savants musulmans, présidée par Youssef al-Qaradawi, conseiller politique de l’émir.

C‘est grâce aux recettes du pétrole et du gaz que Islamweb.net est devenu un Etat dans l’Etat au Qatar et le bras doctrinaire de cet Emirat. Et grâce au site, le pays est devenu, le fer de lance du prosélytisme de l’islam politique via internet. Ainsi, Islamweb.net est devenu aussi important pour Doha que l’exportation des hydrocarbures car Tous les imams, les prêcheurs et les aumôniers du monde musulman se réfèrent Islamweb.net.

 

Analyse des fatwas publiées sur Islamweb.net

 

Parmi les 250 000 fatwas publiées par Islamweb.net répondant à toutes les questions possibles et imaginables en provenance de 190 pays, nous avons choisi les trois fatwas suivantes afin de mettre en lumière l’extrémisme du site :

– Fatwa 186156 de 2019. À l’occasion de l’organisation de la coupe du monde de football de 2022, par le Qatar, événement planétaire qui a nécessité des investissements se chiffrant en milliards de dollars, Islamweb.net a pris une position tranchée et opposée à celle de son ssponsor concernant la compétition à venir. Ce sport, dans ses pratiques actuelles, est contraire, selon lui, aux valeurs de l’Emirat. En effet, la pratique du football est, selon lui, considérée comme illicite (haram) si le jeu ne respecte pas trois impératifs théologiques : interdiction aux joueurs de recevoir des salaires, primes ou récompenses ; respect des cinq prières quotidiennes ; interdiction de tout exhibitionnisme par les joueurs.

Dans l’esprit et la logique de ce site, le PSG, sponsorisé par le Qatar, est une équipe qui n’est pas en conformité avec les préceptes de l’islam tel qu’il est véhiculé par le site. Ce schisme au sommet de l’Etat entre le religieux et le politique signifie que cette prochaine compétition sportive risque de rencontrer des difficultés certaines à cause du conservatisme de la société hôte. Selon le portail islamiste, la coupe du monde de 2022 ne respecterait pas les exégèses, d’où leur cette fatwa 186156 fondée sur un hadith authentique du prophète qui interdit la récompense à tous les joueurs.

– Fatwa 29130 de 2003. Elle souligne que toute révolution ou rébellion contre les gouvernants est interdite et condamnable par l’islam sunnite, sauf si le gouvernant devient athée ou apostat et le déclare publiquement. Or il convient de rappeler que le Qatar a connu plusieurs révolutions de palais depuis 1972, et que l’émirat a joué un rôle majeur – soutien médiatique, financier et militaire – à l’occasion des « révolutions » arabes de 2011 en Egypte, Libye, Tunisie et Syrie.

– Fatwa 33751 de 2016. Elle mentionne l’obligation pour chaque musulman de porter la barbe et de se raser les moustaches sauf nécessité médicale (technique de renseignement datant du prophète afin de différencier les juifs des musulmans à l’époque). Remarquons que les dirigeants qataris anciens et actuels se rasent la barbe sans tenir compte de cette fatwa, ce qui illustre la fracture idéologique entre les deux pôles de gouvernance de ce pays.

D’autres fatwas publiées sur Islamweb.net traduisent la radicalité du discours et de l’idéologie salafistes et la volonté d’exportation de l’islamisme.

– La fatwa 1411 de 1999 fait l’apologie de la création du califat en la considérant comme une obligation religieuse musulmane. L’objectif de ce projet est l’application de la charia sur terre et la propagation de l’Islam sur toute la planète.

– La fatwa 1602 de 2000 recommande le lynchage jusqu’à la mort des personnes ayant commis l’adultère.

– La fatwa 4341 de 2000 prévoit que le musulman a le droit de posséder des femmes esclaves sans liens de mariage en nombre illimité, avec quelques conditions toutefois : par exemple, que la femme devienne libre si elle accouche d’un garçon ; il lui est également, interdit de la vendre une fois qu’elle est devenue mère.

– La fatwa 20214 de 2001 répond à une question posée par un internaute sur les catégories du jihad, on note que le site classifie le jihad en plusieurs catégories : dihad obligatoire pour tout musulman apte physiquement ; dihad non prioritaire ; dihad sollicité.bIl explique que le « djihad de l’âme » et le « djihad de Satan » sont deux obligations religieuses pour tout musulman. Concernant la guerre contre les hypocrites, les infidèles, les despotes et les hérétiques, il s’agit d’un devoir de tout croyant. On note que le site appelle au jihad des mécréants avec la main (épée ou glaive) dans certaines conditions ou en utilisant d’autres moyens comme le cœur, l’argent ou l’âme.

– La fatwa 6061 de 2004 rappelle le châtiment contre tout musulman pratiquant qui a abandonné la prière ; après l’échec de la repentance et la demande du pardon, il est passible de la peine de mort.

– La fatwa 42531 de 2004, concerne les magiciens dont l’activité est prohibée. Le châtiment prévu est la peine capitale.

– La fatwa 110752 de 2008, souligne la nécessité ou l’obligation de couper la main droite et le pied gauche du voleur. Tout en considérant que le vol devient licite (halal) quand il s’agit d’un vol de statues, de croix, d’instruments de musiques ou d’œuvres d’art symbolisant la mécréance.

– La fatwa 6786 de 2014, concernant les fêtes chrétiennes et juives, interdit sans équivoque aux musulmans de fêter Noël, Pâques, l’Ascension, etc. Le site considère que les fêtes des autres religions sont illicites et constituent une hérésie qui symbolise la mécréance et la perversion.

– La fatwa 25367 de 2014 concerne que le blasphème du Prophète (dessins, caricatures, statues, chants) est interdit et passible de la peine de mort par l’État du Qatar. Si un musulman applique cette sanction de sa propre initiative, après avoir consulté le site, sa condamnation sera légère. Cette fatwa est la source de tous les dangers et responsable de la tension accrue entre émigration et pays hôte. En effet, certains jeunes autoradicalisés se sont mis en tête de l’appliquer eux-mêmes (cas de Samuel Paty).

– La fatwa 429283 de 2020, publiée sous le règne du jeune prince Tamim, énonce que l’homosexualité est passible de la peine de mort quel que soit le statut de l’auteur.

Vu le nombre des fatwas (250 000), il est impossible d’examiner tous les avis juridiques publiés incitant à la violence, au racisme et à la misogynie. Les quelques exemples présentés ci-dessus permettent de mesurer que les valeurs prônées par ce site et l’Etat qui le finance sont contraires à la charte internationale des droits humains.

Paradoxalement, les fatwas d’Islamweb.net ne font allusion ni à Daech ni à Al-Qaïda, ni aux Frères musulmans, ni au wahhabisme, ni encore l’organisation islamiste Al-dawa wa tabligh. Pourtant, elles constituent l’ossature et les fondements du discours du salafisme mondial et devraient donc faire l’objet d’une veille systématique. Pourtant, ces avis juridiques n’ont jusqu’à aujourd’hui suscité aucune polémique dans les démocraties occidentales.

 

*

 

L’étude des processus de radicalisation de la dernière génération des djihadistes après 2015 (génération digitale), montre que la majorité des salafistes extrémistes (ghoulats) se sont principalement inspirés de trois sites islamistes qui sont par ordre d’importance : Islamweb.net (Qatar), Ibnou Taymine et Ibn Baz. (Arabie saoudite)

Nous sommes convaincus que la majorité des djihadistes ou takfiristes étant passés à l’acte ont été endoctrinés par les sites cités ci-dessus ou leurs relais, les imams et prêcheurs de haine qui semblent appuyer leurs recommandations ou leurs ordres sur des textes sacrés et des récits musulmans.

Ainsi, grâce à ce type de sites, les organisations terroristes comme Daesh, Al-Qaida et consorts, n’ont plus besoin de mufti officiel (guide spirituel) pour prôner le passage à l’acte et justifier « religieusement » leurs crimes. Islamweb.net s’en charge ! C’est pourquoi il est essentiel d’alerter les pouvoirs publics sur l’influence négative de ce site sur public qui le consulte…et des conséquences qui peuvent en résulter.

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